Laura Bucquet | Réflexothérapeute
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Bien-être | Gestion du stress et de la douleur
La réflexothérapie est une science qui mêle à la fois santé et bien-être. Elle se base sur la stimulation de zones réflexes situées sur différents microsystèmes (la main, le pied, les oreilles, le visage et le dos), et implique une régulation de l’ensemble du corps conduisant à l’homéostasie, l’état d’équilibre physiologique du corps humain. Des perturbations internes ou externes à l’organisme modifient cet état et impliquent des troubles plus ou moins sérieux, pouvant rendre le bien-être d’un individu complètement bouleversé.
Un microsystème représente la convergence de faisceaux de neurones, correspondant à des voies nerveuses. De cette convergence, le corps entier peut se retrouver représenté sur une zone délimitée, telle que le pied, la main, ou encore l’oreille.
Chaque zone réflexe représente l’innervation d’un organe, d’une partie du corps ou d’une glande. Lorsqu’elles sont stimulées, le cortex cérébral reçoit l’information et va déclencher une série de mécanismes chimiques et électriques afin de véhiculer le message jusqu’à la zone que l’on veut réguler.
Si on prend l’exemple de la zone de l’estomac à réguler par une stimulation réflexe palmaire : la stimulation va envoyer l’information au cortex cérébral qui va la traiter et la transmettre via une série de phénomènes chimiques (rôle des neurotransmetteurs) et électriques (système nerveux) jusqu’à la zone considérée (zone de l’estomac) afin de tendre à un état homéostatique. Que la stimulation soit manuelle (palpation avec différentes pressions) ou instrumentalisée, cela ne change pas le mode de transmission du message.
Il existe différents types de réflexothérapies (palmaire, plantaire, auriculaire, faciale, dorso-crânienne), une pour chaque microsystème, et une qui regroupe tous les microsystèmes qu’on nomme réflexothérapie combinée. Le choix des microsystèmes et des zones réflexes ne se fait pas à l’avance, il se réalise en fonction de l’anamnèse et de l’étude clinique du bénéficiaire. Le réflexothérapeute peut choisir de ne pas stimuler un microsystème pour motif personnel, par manque d’hygiène (mycose) ou encore pour raison médicale (fracture, fragilisation d’une zone). En revanche, si cela est possible en fonction des raisons indiquées ci dessus, la stimulation d’une même zone réflexe sur des microsystèmes différents va permettre d’optimiser le soin et de le rendre plus efficace. Pour être en accord avec le soin et le bien-être qu’il apporte, le praticien se doit d’être à l’écoute de son bénéficiaire pour qu’un échange se crée entre eux et qu’une relation de confiance s’établisse.
Spécialisation nourrisson
Spécialisation maternité
Bon cadeau Saint-Valentin:
Un partage de sensations en duo!
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